« Figuratif par accident »

En avançant dans le temps, Marie Jacques Massol voit, non plus un paysage, mais les éléments distincts qui le constituent (minéral, végétal, aquatique…). Elle commence donc par poser sur sa toile de larges aplats sans tenir compte de la réalité qu’elle a sous les yeux, avec une peur presque panique de la couleur ce qui donne à son travail ce côté plutôt sombre.

Si malgré tous ses efforts pour s’éloigner du réel par des ajouts de matière, sa peinture devient petit à petit figurative elle est aussi largement interprétative.

Cherchant l’abstraction, elle n’atteint le plus souvent que la précision d’une peinture réaliste, ce malgré elle ou par décision non assumée. Son travail est « figuratif par accident »